Petits formats et livres d’art, Atelier Véron, Paris

Du 4 au 13 septembre 2023, avec l’Oeil de la femme à barbe ( galerie nomade)

« J’aurais envie »

                                                                              « J’aurais envie »/« Ich hätte Lust »

Un livre en collaboration avec Alain Marc
et Emmanuel Mailly, traduction allemande de Joël Vincent, préface de Daniel Leuwers,

      

ISBN : 978-2-494682-08-5
150 exemplaires numérotés et signés par l’auteur et par l’artiste
livre d’art 62 pages format 20,4 x 29,1 cm sur papier 150 gr. et couverture 250 gr. contenant 9 monotypes d’Alexandra Fontaine créés en correspondance avec le poème d’Alain Marc et un QR code donnant le lien d’écoute de l’habillage musical d’Emmanuel Mailly
Edition bilingue français-allemand
Editions Transignum dirigées par Wanda Mihuleac

Voir l’article  de Jean-Paul Gavard Perret

Performance /slam avec ClaudYvans*, galerie Rachel Hardouin, Paris

Atelier »Portes-ouvertes » chez Alexandra Fontaine

15 et 16 octobre 2022 de 14 h à 20 h, vous êtes attendus pour fêter le lancement d’un nouveau livre d’art, cette fois-ci « enslammé » par Claude Yvans. Sous l’œil avisé de la femme à barbe (l’éditrice), cet évènement festif sera consacré au livre d’artiste. Au programme : de la musique, de la poésie, et encore de la musique…Cf Modalités de la souscription ici 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Créditphoto : Marinette Delanné

Performance A.Fontaine/A.Marc/E.Mailly/H.Alghajar

Performance peinture, poésie, musique et vidéo avec Alexandra Fontaine qui créera des monotypes en direct, sur la déclamation du poète Alain Marc et la musique concrète d’Emmanuel Mailly, le tout filmé et retransmis en direct par Husain Alghajar. Il sera question d’art, de poésie, de musique et de vidéo.

Trois poèmes du « Grand cycle de la vie ou l’odyssée humaine »l’Art est un combat !, Trois fins du combat – Riboulet, Schiele, Raynaud et l’Art, ce chemin d’épanouissement – seront lus pendant 2h non stop sur la visu du travail de peinture en direct d’Alexandra Fontaine et la musique d’Emmanuel Mailly le tout filmé et retransmis par Husain Alghajar. (Le 2 juillet 2022)

                                  

 

« Fontaine ardente »: sept variations sur la sensualité, le désir, l’érotisme, l’amour toujours

« Fontaine ardente » est un livre  d’artiste accompagnant 13 séquences de texte écrites par Armel Louis. Edité par la Lucarne des écrivains
    

Mercredi des Oeillets du 6 octobre 2021 :

Alexandra Fontaine : une rencontre qui peut vous mener loin

Que ce soit sous forme de sculptures, de peintures, d’installations ou de land art, l’inspiration d’Alexandra Fontaine s’enracine dans la nature, mais aussi dans la puissance de textes poétiques.

A partir de paysages parcourus ou imaginés, de formes animales et végétales, elle s’approche au plus près du mystère de la vie et aussi de celui de la mort.

A découvrir mercredi 6 octobre au C33, 33 rue Raspail, à 19h30

« Toujours la vie », installation sur un poème d’Alain Marc, à la galerie associative de Beauvais (60)

Quand j’ai lu le texte « Toujours la vie ! » d’Alain Marc j’ai tout de suite pensé à une forêt de peinture ! Quand j’avais travaillé sur le projet précédent du cahier d’art Six nouveaux regards hallucinés il n’y avait que la sonorité. Je ne m’accrochais qu’aux sons. Là, c’était différent, il y avait un sens, il y avait plus de sens et c’était moins sonore. Par contre il y avait une rythmique.

Ma principale motivation c’est de travailler à partir d’un texte. Quand tu ne fais que peindre tu peux arriver à oublier le langage. En peinture, tu peux tout oublier. La poésie c’est le support et ce support m’envoie quelque part. La poésie est là pour donner des pistes, des directions, des mouvements. La parole poétique est le support de tout le reste.

Le texte est un peu comme la racine. Quand je peins je me dis que ça doit être ça la mort. Tu es perdu dans l’espace tu es dispersé dans l’espace. Tu es l’espace, tu deviens l’espace-temps. Le texte te rattache à un quelque part. Quand tu peins, tu n’existes plus. Il n’y a plus de temps. Tu es dans ta sensation, tu n’es plus là.

Si j’ai pensé à une forêt de peinture c’est peut-être parce que la forêt c’est la vie. La vie, c’est un arbre qui pousse, qui part des racines de la terre.        

« Un été ornais très contemporain » : « Un lieu, des oeuvres » (Fond départemental d’Art Contemporain)

Une résidence-peinture qui s’inscrit cette fois-ci dans le cadre des petites cités de caractères. Longny-au-Perche, 26 juin/1er août 2021

« Conversation avec ma tasse », livre illustré sur une nouvelle d’Armel Louis, édition la Lucarne des écrivains

Seul à seul avec sa tasse en grès, un libraire désoeuvré convoque son présent, les fantômes de sa famille, les anecdotes et les gestes divers qui composent son existence, banale comme une fantasmagorie.

Unique témoin du narrateur, une chatte règne au milieu des bruits du monde, des cartons et du fatras, vivant sa métaphysique au quotidien…..Que reste-t-il de nous face aux corps, aux objets, aux matières qui nous entourent ? Qu’advient-il des êtres, des moments qui nous emportent ? Du rêve ou de la mélancolie, des sons, des goûts, de la contemplation, de l’ennui.

Au rythme des jours, des mots et des heures, la vie continue, coûte que coûte, une tasse en main.